Des amis de longue date, appartenant au milieu de la gauche culturelle, se retrouvent pour une rituelle soirée-buffet sur la vaste terrasse romaine de l’un d’entre eux.
Que reste-t-il de nos amours ? Le film d’Ettore Scola, qui oscille entre la nostalgie et le rire, entre la mélancolie et la tendresse, a proposé en 1974 une réponse qui est devenue un classique du cinéma italien.
Unique long métrage réalisé par Saul Bass, LE grand spécialiste des génériques (Hitchcock, Preminger, Scorsese...), Phase IV reprend un des grands thèmes de la science-fiction : une espèce animale mutante devient un danger pour l’homme.
Tous les jeudis, Jean et Gabrielle reçoivent dans leur appartement luxueux du Paris de 1910. Apparemment soudé, leur couple éclate lorsque Jean tombe sur une lettre de sa femme qui lui annonce son départ avec un amant.
Insiang habite un bidonville de Manille avec sa mère tyrannique. Elles hébergent également la famille du père, parti du domicile conjugal avec sa maîtresse. Insiang se démène corps et âme pour survivre dans ce quartier où chômage et alcoolisme font partie intégrante du quotidien.
À New York, en 1900, une bourgeoise se fait voler sa fourrure par un gamin. Elle le poursuit dans les rues, elle le course et, après un long moment, se retrouve dans un quartier dont elle ne soupçonnait même pas l’existence, où surviennent des clochards, des ivrognes, des chômeurs. Et c’est toute la misère du monde, soudain, qu’elle découvre...
Deux (anti-)héros shakespeariens, Cutter et Bone, luttent pour qu’éclate la vérité sur les crimes sexuels d’un magnat du pétrole dans une petite ville.
Dans une salle de bal défilé l’histoire de la France, des années 20 aux années 80, au gré des musiques qui ont rythmé ces décennies. Le Front Populaire, la Seconde Guerre mondiale, la Libération et Mai 68 sont ainsi évoqués sur fond de jazz, de rock’n’roll et de musique disco.
La jeune Paula Bélier a un dilemme. Doit-elle suivre sa voie ? Celle qui, tracée depuis toujours, la rend indispensable à ses parents agriculteurs : auxiliaire de ferme, mais aussi traductrice et porte-parole ; elle est la seule de la famille à ne pas être sourde-muette.
Sur différents lieux clés des routes migratoires en Europe, des voix, des visages, des corps et des paysages racontent la violence qui se cache derrière l’euphémisme de "contrôle des flux".
Le réalisateur Avi Mograbi et le metteur en scène Chen Alon partent à la rencontre de demandeurs d’asile africains que l’État d’Israël retient dans un camp en plein désert du Néguev.
L’Institut Jean Vigo et l’association U.I.S.C. s’associent pour une programmation cinéma autour du Street Art durant le MOS France (Meeting Of Styles) de Perpignan.
Hushpuppy, six ans, vit dans le bayou avec son père. Brusquement, la nature s’emballe, la température monte, les glaciers fondent, libérant une armée d’aurochs. Avec la montée des eaux, l’irruption des aurochs et la santé de son père qui décline, Hushpuppy décide de partir à la recherche de sa mère disparue.
Des soldats atteints d’une mystérieuse maladie du sommeil sont transférés dans un hôpital provisoire installé dans une école abandonnée. Jenjira se porte volontaire pour s’occuper de Itt, un beau soldat auquel personne ne rend visite...
Sur des images issues de notre collection de films amateurs, des anciens évoquent l’enfance, les jeux, la vie. Programme tout spécialement réalisé en direction des tout petits...
Depuis 1960, deux Prix Jean Vigo sont désormais décernés annuellement : l’un à l’auteur ou aux auteurs d’un film de long métrage, l’autre à l’auteur ou aux auteurs d’un film de court métrage.
L’amphithéâtre d’une université de Lettres. Un professeur de philologie distille des cours de poésie à une assistance étudiante composée principalement de visages féminins...
Londres, par une froide et triste nuit d’hiver... À minuit, au sortir d’une soirée chic copieusement arrosée, Kate guette vainement un taxi avant de se résoudre à prendre le dernier métro. Sous l’effet de l’alcool, la jeune femme ne tarde pas à s’assoupir. À son réveil, la rame est déserte...
Le film montre trois journées de la vie d’une femme. Elle a quarante-cinq ans, une pension ridicule et un fils de quinze ans. Son existence se déroule dans cet ordre immuable qu’elle a choisi lorsqu’elle s’est installée, voici plus de vingt ans : elle « doit » faire la vaisselle, mijoter les repas, laver, épousseter...
Au cœur du village de Saint-Laurent-de-Cerdans, se cache une vieille usine de tissus traditionnels qui fait voyager ses toiles dans le monde entier. Ici, tisserands et couturières conjuguent le temps du travail et de la mondialisation avec celui d’une vie locale préservée...
Se sachant gravement malade, Barsam souhaite retourner sur la terre qui l’a vu naître. Il souhaite également léguer quelque chose à sa fille Anna. Elle est pétrie de certitudes. Il voudrait lui apprendre à douter.